créer son identité visuelle de base

créer son identité visuelle de base

Qu’est-ce qu’une identité visuelle ?

Une identité visuelle est l’ensemble des visuels, des signes graphiques qui vont représenter votre activité. L’identité visuelle va permettre de vous démarquer, de vous faire reconnaitre facilement et de donner un premier avis (même inconscient à vous futur·es interlocuteurs·trices).

Il ne s’agit pas uniquement d’un logo. Un logo seul ne vous aidera pas à vous démarquer dans votre communication.

L’identité visuelle contient :

  • le logo ;
  • les polices d’écriture ;
  • les couleurs ;
  • les mises en pages ;
  • différents visuels (illustration, photos, pictogrammes…) ;

En avez-vous besoin ? Maintenant ?

C’est la question de l’œuf ou de la poule 😉

Vous démarrez votre activité, seul·e ou à plusieurs, vous n’avez pour l’instant peu ou pas de client et donc peu de rentrées d’argent. Vous avez envie de faire sensation et que l’on vous reconnaisse tout de suite. Vous avez envie d’un logo qui claque, d’une carte de visite originale, d’un site époustouflant. Et c’est bien normal.

Oui mais… quand on commence, d’une part, c’est difficile de sortir des sous pour le graphisme, et d’autre part, l’activité peut encore évoluer.

Imaginez, vous créez un super service de livraison de produits locaux pour chats et qu’en fait, la demande est là, mais pour les cochons d’inde ! Or, vous avez mis des chats partout dans vos visuels…

Bon ok, j’exagère, mais vous voyez l’idée.

Mais comment faire alors, pour avoir quand même une mini identité visuelle qui ne parte pas dans tous les sens ?

Pour vous aider, voici quelques pistes pour créer un début d’identité visuelle propre et surtout SIMPLE. Rien n’est gravé dans le marbre, vous allez pouvoir adapter, peaufiner…

Identité visuelle de base : l’avant logo.

C’est le premier élément visuel auquel on pense.

Pour trouver une idée : tempête d’idées !! Mettez tout à plat grâce aux cartes mentales. Ne vous limitez pas, écrivez tout ce qui vous passe par la tête, écrivez, les concepts, les idées et aussi des représentations visuelles concrètes..

Un logo avec un symbole

Une fois l’idée trouvée, essayez de la simplifier au maximum. Il vaut mieux un petit signe graphique bien fait qu’un truc compliqué, bancal et avec trop de détails. Vous pouvez utiliser Canva ou un logiciel de graphisme si vous êtes à l’aise.

Petite apparté sur Canva : Canva, c’est magique, c’est génial, c’est intuitif. Je ne crache pas dessus, je l’utilise aussi. Canva permet de faire de beaux documents. Mais c’est aussi hyper uniformisé. Le risque en choisissant un logo tout fait sur Canva par exemple, c’est que vous n’avez pas l’exclusivité.

Est-ce que vos activités sont uniquement dans votre ville où vont rayonner sur un vaste territoire ? Dans le deuxième cas, le travail sur l’identité visuelle peut être plus important afin de trouver un graphisme qui sorte du lot.

Le nom dans le logo

Cherchez une typographie qui correspondra au mieux à votre activité, pour cela, il y a des normes. C’est pénible les normes, mais ça a fait ses preuves, et c’est efficace ! Évitez de choisir des typographies utilisées par des grandes marques, ou des trucs douteux et louches, le lien se fera automatiquement dans l’esprit des personnes.

Faites lire votre logo par votre entourage, par des personnes qui ne connaissent pas votre nom de marque. Est-ce qu’on lit bien ce qui est écrit ou faut-il le déchiffrer ?

 

exemples de logos proposés par Canva

Exemples de logos proposés par Canva

La police d’écriture

Choisissiez d’autres typographies pour vos documents (pdf de présentation, cartes de visite…).
Vous utiliserez les mêmes partout. PARTOUT ! Simples, lisibles et qui se démarquent de celle que vous avez choisie pour écrire le nom de votre activité. Pensez à ce qu’elles puissent être lues par tous les publics. Faites des essais, regardez bien toutes les lettres, s’il y a des accents… Vérifiez les droits d’utilisation aussi ! Ce n’est pas parce que tout le monde l’utilise que c’est ok. Soyez dans les clous et la légalité.

Vous pouvez en choisir 2 : une pour les titres, un autre pour le texte.

polices proposées par dafont

Polices proposées par Dafont, typographies qui pourraient être utilisées pour le logo, mais pas pour les documents.

Les couleurs

Choisissez 3 couleurs maximums (qui pourront être déclinées par la suite). inspirez-vous

Creer une palette de couleur

Vous pouvez regrouper des photos qui correspondent à votre produit, à votre activité, qui reflète les ambiances que vous voulez faire ressortir. Une gamme chromatique va surement en sortir.

C’est quoi le code couleur ? C’est un code qui définit une couleur ! Mais encore ? Une couleur peut être en CMJN (Cyan, Noir, Jaune et Magenta) pour une utilisation pour l’impression, en RVB (Rouge, Vert, Bleu) pour une utilisation le Web, ou un nombre précédé d’un # pour le Web également (site, Canva…)

les codes couleurs

Regroupez les informations

Créer un dossier “identité visuelle” dans lequel vous aurez :

  • Un mémo fait sur n’importe quel programme (Word, Excel…) reprenant les diverses informations (typographie, codes des couleurs*… ). Ce sera votre garde-fou.
  • Un sous dossier avec toutes les images d’inspiration.
  • Un sous dossier avec les images à utiliser.

Cerise sur le gâteau, lorsque vous travaillerez avec un·e graphiste, vous aurez un bon dossier à lui présenter, ce qui facilitera la communication et clarifiera votre demande.

Vous pouvez aussi faire un sous-dossier avec des images et visuels qui pourraient être liées à votre activité, mais que vous souhaitez éviter. Par exemple, vous êtes décoratrice, mais vous ne voulez pas que les personnes associent votre activité au minimalisme.

Pour conclure…

Et voilà ! Vous avez une identité visuelle simple et provisoire, mais qui vous permettra de réaliser des documents qui tiennent la route visuellement, qui sont en lien. Bref, quelque chose de propre. Pour passer à l’étape supérieure, c’est-à-dire faire un travail de fond sur votre image, travaillez avec un·e professionnel·le quand vous serez prêt·e !

… ou pour continuer

Même avec ces conseils, vous n’arrivez pas à dégager des visuels utilisables ? Cela arrive quand on a la tête dans le guidon et on a tous et toutes la tête dans le guidon quand on démarre ! Vous avez besoin de recul, parfois une simple discussion suffit pour débloquer la situation. Vous pouvez me contacter pour un appel découverte pour me parler de votre projet et pourquoi pas, aller plus loin ensemble par la suite !

 

 

Les alpages : illustration pas à pas

Les alpages : illustration pas à pas

Pour son livret intérieur, le Pèlerin m’a commandé une illustration sur les alpages. C’était un peu une première pour moi car je n’ai pas l’habitude de réaliser des illustrations de paysages. Challenge !

Le brief : représenter les deux alpages, celui de juillet et d’aout sur une même double-page avec les différentes particularités, laisser de la place pour le texte explicatif.

Pour ce projet, j’ai préféré discuter de vive voix pour être certaine de la demande. Discuter permet souvent de développer les idées. Généralement, lors de ces moments, dans ma tête, ça fuse dans tous les sens, et je représente aussitôt les mots en images.

illustration alpages

Etape 1 : cela commence toujours par un crayonné. Dans ma tête, c’est assez clair, sur le papier, un peu moins ! Il faut dans un premier temps voir si tous les éléments sont bien mis en place et bien représentés.

illustration alpage croquis

Les blocs colorés sont les blocs de textes explicatifs provisoirement placés. Chaque élément illustré correspond à une explication. Il faut tenir compte de cela dès la construction de l’image. J’envoie cette version pour validation. Il y aura juste quelques petits ajustements. J’ai oublié de représenter le berger et l’abri de moutons par exemple.

Je n’ai pas beaucoup dessiné des moutons dans ma vie, je suis plus à l’aise avec les chiens ! Pour l’instant les moutons sont des formes un peu indéfinies, j’en vois même qui ressemblent à des cochons. Ce n’est pas grave, j’y travaillerai après.

croquis illustration alpages

Etape 2 : je réalise une mise en couleur rapide pour voir les contrastes et la lisibilité. Je redessine les différents éléments, mais il ne s’agit pas encore du tracé final.

illustration alpages

Je suis bretonne et je vis en Belgique, donc forcément, je ne suis pas la plus calée en Alpage. Heureusement, il y a de quoi trouver l’inspiration sur le web. Je vois des moutons partout. Cette recherche me fait réaliser que c’est difficile de trouver des photos de moutons qui ne regardent pas l’objectif. Elles sont trop curieuses ces petites bêtes !

illustration alpages

Étape 3 : c’est la mise au propre ! Je commence par le tracé et ensuite les aplats de couleurs. Dans mon fichier de travail, je dois facilement dépasser la centaine de calques !

illustration alpages

Étape 4 : c’est l’étape un peu magique ! En rajoutant les ombres et les lumières, tout prend forme !

Cette illustration m’a demandé une dizaine d’heures, entre la recherche, les croquis, la mise au propre, mais aussi le suivi client. J’aurais pu y passer un peu moins de temps, mais comme il s’agissait d’une scène que je n’ai pas l’habitude de représenter, et qu’il fallait faire attention à la gestion de l’espace, j’y suis allée doucement. 🙂

double page alpages

Et voilà le résultat final !

5 astuces pour choisir sa police de caractère

5 astuces pour choisir sa police de caractère

Le choix d’une ou plusieurs polices de caractère pour représenter son association, son projet, son festival est une étape essentielle sur laquelle il faut s’attarder et faire des recherches. Voici 5 petites astuces (et il y en a d’autres!!) pour vous aider à choisir en connaissance de cause.

1 – Un nombre limité de polices de caractère

Limitez-vous à 3 polices de caractère différentes, 2, c’est encore mieux. Trop depolices de caractère va alourdir vos documents, la personne qui les lira risque de se perdre et de passer à côté des informations principales. Le cerveau classe automatiquement et inconsciemment les informations, facilitons-lui la vie avec une polices de caractère pour les titres, une autre pour le texte, les paragraphes, et à la limite une 3e pour les citations ou mise en exergue.

2 – De nombreuses déclinaisons

Si le nombre de polices de caractère à utiliser dans un même document est limité, les déclinaisons, elles, peuvent être nombreuses. Il est possible de jouer avec les italiques, le gras, l’écriture en capitale… Certaines polices de caractère proposent des variantes plus ou moins fines.

Variez la taille, l’épaisseur et la couleur d’une même police de caractère.

3 – Privilégier la lisibilité

Il existe beaucoup de styles de polices de caractère : élégant, original, destroy, … mais si votre objectif principal (avant de créer quelque chose de design qui claque) est de passer une information, je vous conseille de rester sur quelque chose de basique. Attention, cela peut être basique et original à la fois ! Tout se joue dans la nuance.

Je réalise souvent des documents pour un public ayant des difficultés à lire le français. Le texte en lui-même est à adapter, mais la police d’écriture doit être extrêmement claire et lisible. Il ne doit pas avoir de confusion entre les différentes lettres.

4 – Vérifier les accents !

La plupart des polices de caractère sont d’origine anglophone, sans d’accent. Vérifiez donc toujours la disponibilité des lettres avec accent, en minuscule et en majuscule.

5 – Le style de la police de caractère

Vous kiffez la typo Walt Disney ? Ok, c’est votre droit. Mais si vous l’utilisez, sachez que d’office votre lecteur ou lectrice fera le lien avec l’univers de Walt Disney. C’est pareil pour toutes les polices de caractère utilisées par les grandes marques. De plus, de nombreuses polices de caractère ont une histoire et une signification. Écoutez celle de la Comic Sans si vous ne la connaissez pas encore !

Évitez de choisir une police de caractère à la mode qui s’affiche partout au moment où vous créez votre identité visuelle, mais qui sera obsolète dans un an.

Choisir une police de caractère est très complexe et nécessite beaucoup de temps. Certain·es graphistes sont même spécialisé·es en création de typographie.

Besoin de déléguer la réalisation graphique de votre projet ? Contactez-moi par mail, par téléphone ou prenez rendez-vous pour un appel “découverte” !

Challenge créatif : #vendredillu

Challenge créatif : #vendredillu

Depuis quelques semaines, je me suis lancée dans un nouveau challenge : #vendredillu.

Le but est de re-créer une habitude créative, de fixer un rdv créatif.

Je me suis dit que j’allais réaliser 1 illustration par semaine et que j’allais la poster tous les vendredis. Qu’elle soit ratée ou réussie, finie ou inachevée. Ce ne sont pas des illustrations pour étoffer mon book mais plutôt pour tester différentes façons de dessiner, de colorier.

Par exemple, j’ai l’habitude d’utiliser un pinceau Photoshop lisse et net. Dans les dernières illustrations, j’utilise un pinceau texturé.

J’essaye aussi de dessiner le plus possible sur papier, loin de l’ordinateur.

L’effet top de cet auto-challenge, c’est que cela m’a permis d’enchainer sur d’autres illustrations (celles de la page d’accueil de mon site et plusieurs sur une série).

Voici mes différentes illustrations réalisées jusqu’ici.

Vous pouvez les retrouver sur mes différents réseaux sociaux :

 

lamb illustration
astronaute
vendredillu
vendredillu
vendredillu
vendredillu
vendredillu
vendredillu

Cela vous dit de participer?

8 polices d’écriture pour les fêtes

8 polices d’écriture pour les fêtes

Pour préparer vos imprimés et visuels, voici 8 typographies qui débordent de noëlitude, de scintillements, voire de kitch! Il faut bien ça pour réchauffer la saison.

Attention aux licences, certaines typographies sont gratuites uniquement pour un usage personnel. Toutes les typos choisies proposent l’option accent (ce qui est plutôt bien pour la langue française non ?).

Je vous laisse faire votre marché, pluie d’étoiles scintillantes sur vous.

Miraculous & Christmas

8 typographies pour les fêtes

Snowhouse

8 typographies pour les fêtes

Snowy Christmas

8 typographies pour les fêtes

The Perfect Christmas

8 typographies pour les fêtes

Coventry Garden NF

8 typographies pour les fêtes

Christmas Sparkle

8 typographies pour les fêtes

Aliyah

8 typographies pour les fêtes

CHRISTMAS SOUNDS

8 typographies pour les fêtes

Travailler avec un·e graphiste

Travailler avec un·e graphiste

Vous souhaitez travailler avec un·e graphiste ? Et vous vous demandez comment cela se passe ?
Généralement, cela se passe bien:-)

En fait, pour que cela se passe bien, il faut un peu de discipline, he oui ! Depuis que je suis à mon compte, j’ai eu l’occasion de mettre en place tout un processus pour que cela soit une bonne expérience pour moi et pour vous !

Au restaurant, vous passez commande, c’est sur la carte. Parfois en donnant quelques indications sur vos goûts et allergies et l’on vous sert un repas adapté. En graphisme, vous allez devoir passer du temps en cuisine :-). Travailler en équipe avec le·la graphiste vous permet d’avoir vraiment des résultats qui correspondent à vos attentes et à vos besoins. De plus, un lien de confiance se tisse, et permet de travailler de façon fluide et agréable.

Je vais vous présenter comment se passe un projet. Bien évidemment, cela dépend de la complexité de la demande. Certaines étapes peuvent être très courtes, d’autres très longues. Au mieux le projet est préparé, au mieux le travail se déroule. Le la graphiste ne va pas seulement “exécuter” le graphisme, il·elle doit pouvoir vous conseiller sur le contenu, la forme et les supports.

1 – les Premiers contacts

Je ne suis pas voyante, et je ne sais pas lire dans vos pensées 🙂 Pour commencer, et après une première prise de contact, je vous envoie un document comprenant une liste de questions sur laquelle vous allez potasser. Ensuite, nous analysons vos besoins, vos contraintes, le planning, le budget… Parfois, le projet est assez simple, donc tout peut-être dit dès la première discussion. En creusant, nous nous rendons compte qu’il y a des détails qui feront toute la différence pour la réalisation du projet. Cette première réunion est sans engagement de votre part et me permet d’établir un devis détaillé et au prix le plus juste.

2 – La proposition de prix

C’est de plus en plus rare que je fasse un devis directement. Si vous souhaitez avoir une idée du budget, je vous fais une estimation. Dans la plupart des cas, vous aurez votre budget, je vous fais différentes propositions de prix et de travail. Nous affinons pour nous mettre d’accord sur le travail à réaliser.

Ensuite je fais un devis avec

  • l’explication détaillée du projet ;
  • le planning avec les grandes lignes ;
  • un contrat de licence
  • et pour les projets complexes, j’ajoute un rétro planning.

Ne commencez jamais un travail sans devis signé. C’est un conseil valable pour les deux parties !

Un devis + un contrat de licence + un acompte

travailler avec un·e graphiste - le devis

3 – le Lancement du projet

Conseil

Lisez bien les conditions générales de vente, c’est long, c’est chi… mais c’est important !

Vous fournissez tous vos contenus. Idéalement, les textes sont corrigés et validés. Je dis “idéalement’, je sais bien qu’il y a toujours des corrections. Ils seront fournis dans un fichier de traitement de texte (pas un pdf).

Note

Pour certains projets, je m’occupe aussi de reformuler le texte pour qu’il soit plus percutant, ou adapté au public à qui il est destiné. Il m’arrive de faire le ménage, ce n’est pas forcément agréable, mais je vous assure que le message passe plus efficacement !

4 – Le brief créatif

Un brief créatif est nécessaire pour que je puisse bien comprendre toutes les dimensions du projet. Il faut compter 1h30 d’échange. On met tout sur la table, on déballe tout ! On note les idées les plus farfelues, on se met à la place de l’utilisateur, de l’utilisatrice. On fait un brainstorming, une tempête d’idées en français. On imagine le top du top pour le projet et on revient sur terre en ajustant en fonction du budget, de la réalité.

Brainstorming

5 – Les recherches

Après toutes ces étapes, je peux enfin commencer à travailler sur le projet en lui-même ! Grâce au brief et aux différents contenus, j’ai tout ce qu’il me faut pour m’y plonger et m’imprégner du sujet.

Je commence par faire des recherches, c’est la phase de cogitation! Par exemple, je cherche des images, des ambiances, des exemples… Je tâtonne, je gribouille, je fais des essais, sur papier, sur l’ordinateur. C’est long. Cela prend du temps. De plus, l’inspiration est parfois capricieuse, ou alors il faut laisser décanter le projet. C’est une partie invisible, ça cogite beaucoup à ce moment-là ! Ensuite je trie mes recherches et les assemble sous forme de plusieurs pistes graphiques (le nombre est prévu dans le devis) dans un document et je vous les présente. Il faut généralement prévoir une réunion de +/- 1 heure à ce stade. Tout dépend de la complexité du travail.

travailler avec un graphiste les recherches

Recherches pour un guide d’auto-santé sexuelle et reproductive

6 – La mise au propre

Après avoir choisi une piste graphique, je commence la mise au propre. Ici, deux solutions :

  • Tout faire d’un coup, si tout est bien défini pour vous comme pour moi,
  • Avancer petit à petit, tout en gardant le contact, avec plusieurs allers/retours.

Il est possible de faire des modifications et ensuite des corrections. Les modifications se font durant le projet, elles sont validées au fur et à mesure. Les corrections se font à la fin, il s’agit de corrections orthographiques, de petits ajustements. Le nombre de modifications et de corrections est précisé dans le devis.

Note

Plus il y a d’intervenant·es sur la fin du projet, plus il y a de modifications !

Travailler avec un·e graphistes - la mise au propre

7 – la Livraison

Pour finir, je vous envoie les fichiers dans les formats numériques demandés. Généralement, il y a une version toute prête pour l’imprimeur, et une autre pour la diffusion sur le Web. Parfois, on me demande les fichiers sources, c’est-à-dire les fichiers de travail. C’est possible, mais il y a un surcoût. J’y reviendrai dans un autre article.

Note

Si vous souhaitez tout déléguer et ne vous sentez pas à l’aise avec l’impression, je peux m’occuper du suivi de l’impression (les demandes de devis, l’envoi des fichiers, le suivi…).

Comprendre pour mieux se soigner guide

Présentation du guide accompagnant l’outil pédagogique “Comprendre pour mieux se soigner

8 – la Clôture et le suivi

Le contrat se finit donc avec la livraison des fichiers et l’envoi de la facture. Mais je garde contact avec vous ! J’aime prendre connaissance de la naissance “physique” du projet : l’impression, la diffusion… je suis toujours curieuse d’avoir votre retour !

La satisfaction de mes client·es est pour moi essentielle.

J’espère vous avoir éclairé·e sur la façon de travailler avec un·e graphiste. N’oubliez pas que chaque projet est différent, j’ai retracé ici les grandes lignes et les étapes principales.

Avant de choisir avec qui vous voulez travailler, visitez les sites des graphistes pour savoir si leur activité et leur style peut correspondre à votre projet. Beaucoup de graphistes ont des spécialités.

En ce qui concerne l’illustration, j’ai également écrit un article sur les informations nécessaires pour demander un devis à un·e illustrateur·trice.

Un projet ?

Contactez-moi pour me parler de votre projet et voyons ensemble comment nous pouvons y travailler.

Un premier rdv est sans engagement!

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